Partout en Afrique, un nombre croissant d’agricultrices partagent un secret : la réussite. Ces femmes, et pas seulement ces agricultrices, sont aussi propriétaires terriennes, créatrices d’emplois, formatrices agricoles et des mères fières de leurs enfants, étudiants à l’université. De plus en plus de femmes font carrière dans l’agriculture, se donnant la possibilité d’investir pour leurs enfants et leurs communautés, et de sortir de la pauvreté.
Mais ce n’est pas encore le cas pour la majorité des agricultrices, pour qui le quotidien demeure très difficile. Bien qu’elles représentent presque la moitié de la main d’œuvre agricole en Afrique, elles ne reçoivent pas le même soutien et ne bénéficient pas des mêmes investissements que les hommes.
Liberata, Anne et Maria sont des agricultrices qui réussissent. Le secret de leur succès ? Elles ont toutes eu l’opportunité de développer leur activité et de sortir de l’extrême pauvreté grâce à l’agriculture.
Pour la Journée internationale de la Femme, cette année, nous vous demandons de partager ce secret. En racontant ces histoires, vous pourrez montrer que les agricultrices en Afrique peuvent réussir quand elles bénéficient des mêmes chances que les hommes.
LiberataLiberata vit à Kabushinge, au Rwanda, avec son mari et ses six enfants. Il y a cinq ans, grâce à un partenariat entre le gouvernement rwandais et Landesa, un institut de recherche en développement rural, elle a compris qu’elle avait des droits sur la terre que sa famille cultivait depuis des générations.
Posséder un titre de propriété signifiait qu’elle n’aurait plus à avoir peur que ses voisins lui prennent ses terres. Elle a ainsi investi dans des engrais, ses récoltes de maïs et de patates douces se sont améliorées, et elle a aussi pu faire pousser des haricots et des bananes. Ses enfants ont maintenant une alimentation équilibrée et elle a assez d’argent pour les envoyer à l’école.
Etre propriétaire de sa terre a transformé la vie de Liberata. Partagez son secret dès maintenant.
Anne
Anna vit à Kisiwa, dans l’ouest du Kenya, avec son mari et ses sept enfants, dont deux sont adoptés. Leurs revenus proviennent essentiellement de l’agriculture, et ils ont toujours eu des difficultés à payer les frais de scolarité de leurs enfants. Après avoir rejoint le programme « One Acre Fund », Anne a bénéficié d’un ensemble d’investissements dont un accès au crédit (ce qui lui a permis d’acheter des engrais et des semences), et une formation sur la diversification des cultures et les différentes techniques de plantation.
En l’espace d’une saison, la récolte de maïs d’Anne a plus que doublé, passant de 4 à 10 sacs. Et en choisissant de se diversifier et de produire aussi du millet, elle en a produit 270 kilos, soit 90 kilos de plus que ce à quoi elle s’attendait. Ce succès a permis à tous ses enfants d’aller à l’école, et à son fils Briston de faire des études d’ingénieur à l’université, le plus haut niveau universitaire jamais atteint par un membre de la famille.
« Je ne pensais pas qu’il s’intéresserait à l’ingénierie, mais je n’ai pas voulu influencer son choix. Je voulais qu’il choisisse son futur lui-même, et je pense qu’il réussira ».
Un crédit et une formation ont transformé la vie d’Anne. Partagez son secret dès maintenant.
Maria
Maria vit à Mwasonge, en Tanzanie, avec ses cinq enfants et ses quatre petits-enfants, qu’elle aide grâce à ses revenus de l’agriculture. Ils dormaient tous sur le sol, avant que Maria ne rencontre Mwanaidi, une agricultrice ayant reçu une formation.
« Elle m’a donné des nouvelles graines et m’a appris à faire pousser des patates douces oranges. Elle m’a appris comment irriguer le sol, augmenter les rendements, séparer les plantes grimpantes, toutes ces choses que l’on ne connaissait pas avant. »
Grâce à des conseils sur la promotion de ses produits sur le marché, Maria fabrique et vend des chips, des biscuits, des beignets et des crêpes à base de patates douces qu’elle fait pousser.
« Aujourd’hui c’est moi qui forme les autres agriculteurs de mon groupe, je leur transmet ce qu’on m’a appris. Je travaille avec plaisir en sachant que je sortirai de la pauvreté en continuant à faire ce que je fais. Mon rêve est de terminer la construction de ma maison en briques, de dormir dans un endroit confortable, d’améliorer les conditions de vie de mes enfants et de mes petits-enfants, et de les envoyer tous à l’école. »
Une formation a transformé la vie de Maria. Partagez son secret dès maintenant.
En cette Journée internationale de la Femme, célébrez le succès des nombreuses femmes qui ont réussi et le potentiel de millions d’autres : partagez le secret !
Prochainement vous pourrez aussi découvrir, dans un nouveau rapport de ONE, pourquoi les agricultrices africaines ont besoin de manière urgente de plus de soutien et d’investissement.
Normal
0
false
false
false
FR
X-NONE
X-NONE
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name:”Table Normal”;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-parent:””;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:10.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:115%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family:”Calibri”,”sans-serif”;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-ansi-language:FR;
mso-fareast-language:EN-US;}
Normal
0
false
false
false
EN-GB
JA
X-NONE
/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name:”Table Normal”;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-parent:””;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin:0cm;
mso-para-margin-bottom:.0001pt;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:12.0pt;
font-family:”Cambria”,”serif”;
mso-ascii-font-family:Cambria;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Cambria;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-fareast-language:EN-US;}